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En début de semaine dernière, Meta a annoncé qu’à partir du 19 janvier 2022, elle commencera à supprimer des options de ciblage spécifiques liées à des sujets que les gens pourraient percevoir comme sensibles. La société donnera aux utilisateurs un plus grand contrôle sur les publicités qu’ils voient sur certains types de contenu.
Parmi les exemples donnés par Meta for Business d’options de ciblage sensibles, citons celles liées à la santé, à l’orientation sexuelle, aux groupes et fêtes religieux, aux idéologies politiques, aux questions sociales, aux causes, aux organisations et aux personnalités.
Cette décision n’a pas été bien accueillie par certains partenaires publicitaires qui utilisent ce type de ciblage pour générer un changement social positif. Mais, pour apaiser les parties, Meta a offert des suggestions sur la façon de continuer à obtenir des résultats des campagnes, notamment en utilisant des audiences personnalisées.
L’année dernière, Google a présenté Performance Max. Un moyen innovant d’acheter des annonces sur YouTube, Display, Search, Discover, Gmail et Google Maps à partir d’une seule et même campagne. Après des premiers résultats probants, la société a décidé d’étendre cette option aux annonceurs du monde entier.
Mais en quoi les campagnes Performance Max sont-elles différentes ?
La réponse est très simple : grâce à cette innovation, toute marque peut promouvoir son activité en utilisant tous les placements Google à partir d’une seule campagne, ce qui entraîne une augmentation des conversions. Selon les statistiques, les annonceurs qui ont déjà essayé Performance Max ont enregistré une augmentation moyenne de 13% du nombre total de conversions, tout en maintenant un bon coût par action.
Voici un tutoriel vidéo intéressant :
Comme annoncé sur son blog, YouTube a décidé de supprimer les dislikes sur toutes les vidéos de la plateforme. Cependant le bouton restera disponible pour que les utilisateurs puissent recevoir des recommandations personnalisées.
Ce changement fait suite à une expérience menée au début de l’année 2021, au cours de laquelle l’entreprise avait déjà supprimé le bouton Dislike pour voir si cela permettait effectivement de réduire les attaques de haine.
En pratique, le bouton restera sous les vidéos, mais le nombre de clics qu’il reçoit sera privé et visible uniquement par l’auteur de la vidéo dans Insights.
Plusieurs utilisateurs de la version bêta de WhatsApp ont signalé que l’application est en train de déployer le support multi-appareils pour tous les utilisateurs iOS et Android. Cette fonctionnalité permet aux utilisateurs de synchroniser jusqu’à quatre appareils avec un seul compte WhatsApp, sans se connecter via un smartphone.
La nouvelle fonctionnalité est disponible, en version bêta uniquement, dans les paramètres de l’application, où les utilisateurs peuvent sélectionner l’option Multi-Device Beta dans la liste des appareils connectés. Une fois que ce sera fait, il sera possible d’envoyer et de recevoir des messages en utilisant l’application de bureau de WhatsApp, ou le service web, sans que le téléphone soit en ligne.
Selon l’entreprise, la prise en charge de plusieurs appareils n’entravera en rien la protection de la vie privée, car les appels et les messages personnels resteront cryptés de bout en bout sur tous les appareils. Cependant, WhatsApp a prévenu les utilisateurs que, puisque la fonctionnalité est encore en version bêta, les performances et la qualité du service peuvent en souffrir.
La croissance de Telegram s’accompagne d’une augmentation des coûts de fonctionnement de son service. Jusqu’à présent, les coûts ont toujours été couverts par les investissements du fondateur de l’entreprise, mais la plateforme cherche désormais à monétiser le service, afin de faire face aux coûts de maintenance.
Ainsi, afin de générer des revenus, la société a décidé de lancer la plateforme publicitaire Telegram, qui permet aux particuliers et aux organisations de créer et d’envoyer des messages sponsorisés.
La société elle-même a déclaré que les utilisateurs ne verront pas de coupures publicitaires dans les conversations ou les groupes privés, car la plateforme n’autorisera les placements publicitaires que sur les chaînes publiques comptant plus de 1 000 abonnés. En outre, les annonces sont limitées à 160 caractères.
La société a également déclaré que la vie privée de ses utilisateurs ne sera pas compromise. Aucune de leurs données ne sera collectée, exploitée ou analysée pour diffuser les publicités. Les publicités seront uniquement affichées aux utilisateurs en fonction du thème des chaînes publiques auxquelles ils sont abonnés, et il ne sera pas possible d’insérer des liens externes.
Les messages sponsorisés sont actuellement en phase de test et on ne sait pas quand ils seront effectivement lancés.
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